vendredi 16 août 2019

Réajuster les paramètres du changement.


Le combat est réel, le mécontentement de plus en plus présent, l'organisation pour manifester tout cela est en place. Mais il serait bon de redéfinir en profondeur ce qu'il se passe. Qui combattons-nous réellement ? Le mécontentement est-il plus compliqué et moins matérialiste qu'il n'en a l'air ? Les moyens mis en place ne seraient-ils pas à revoir ? Pour obtenir un réel changement et un avenir plus heureux, il ne faut pas baisser les bras bien sûr mais plutôt réajuster le tir.

La transition est internationale et il est fondamental d'en prendre conscience. La France n'est pas le seul pays concerné par l'injustice et la tromperie. L'ennemi est plus imposant et nocif qu'un gouverne-ment dirigé par un président dans un pays isolé. Il faut le visualiser tel une araignée dont le corps central n'est pas toujours reconnu du grand public et dont les pattes en sont l'extension : hommes d'état, d'affaires, d'Eglise, lignées royales notamment. Leur intérêt principal : nous maintenir en esclavage. A partir de là on peut comprendre plus de choses. En nous transformant en consommateur aguerri, individu malade ou susceptible de l'être dépendant des soins médicaux qu'ils ont eux-mêmes établis, survivants dans cette société qui a tout mis en place pour que nous soyons déconnectés de notre essence profonde. La dépendance est partout : énergétique, alimentaire, santé, produits finis... En nous convainquant ou plutôt en nous ayant menti depuis très longtemps sur des points essen-ciel : les fondements d'une homéostasie physique (santé), l'accès aux énergies libres et à la possibilité d'être indépendants du système pour assurer sa survie, la vérité sur une alimentation basée sur nos réels besoins. Et si on va encore plus loin, on peut même remettre en question la théorie de l'évolution de l'homme à partir du singe qui nous déconnecte de notre réalité multidimensionnelle. En nous coupant de notre réel potentiel et en nous réduisant à un corps de matière régit par son cerveau, il est aisé de manipuler l'être humain le dénigrant dans son accès à des dimensions plus reculées et étant doué de discernement. Voilà un fondement de notre société afin de réduire en esclavage l'humanité et on peut aisément le vérifier lorsqu'on l'observe sous un autre angle. Réfléchissez par vous-mêmes sur les profits que peuvent rapporter les concepts suivants tels qu'ils sont organisés par l'Etat : la scolarité privant de réflexion personnelles et instruisant des notions discutables (dans l'actualité il est évident que la mise en place de l'éducation sexuelle dès l'enfance a un objectif malsain). Le divertissement abrutissant criblé de messages subliminaux nous transformant en zombies programmés, lobotomisés. Le culte de la surconsommation et l'illusion que nous y trouverons une réelle satisfaction. Les informations déformées manipulant l'opinion publique, tournées vers un pessimisme omniprésent ne nous laissant pas entrevoir la possibilité d'un monde meilleur. La peur entretenue par la menace d'infections de toutes sortes (propagande des services médicaux, films catastrophes) nous laissant accepter l'injection de poisons dans nos organismes. Les 11 vaccins obligatoires sur des nourrissons est une aberration qui aurait pu susciter une remise en question de la bienveillance médicale mais les gens sont tellement formatés qu'il n'y a pas eu de réaction. Je m'arrête là dans ma dissertation sur comment "l'araignée de l'ombre" a tissé sa toile.
Pour mener des actions constructives il est nécessaire de mieux cerner l'ennemi, son fonctionnement et ses objectifs. Combattre l'insatisfaction en manifestant contre un gouvernement était une étape nécessaire. Mais c'est une action concernant un statut de citoyen consommateur dépendant d'un système afin d'obtenir un meilleur cadre de vie. Maintenant, il faut aller plus loin dans la démarche. Nous sommes avant tout des êtres humains ayant un libre arbitre, libre à la naissance de toute emprise extérieure, capables de bienveillance les uns envers les autres, de reflexion, de sentiments de toutes sortes et d'accéder par nous-mêmes à nos besoins primaires. L'ennemi est celui qui bafoue ces droits universels. Il est délicat à définir car il mène à une quête de vérité plus large qu'on ne pense et peut entraîner des débats entre différents mode de pensées. Je ne souhaite pas animer un tel débat donc nous nous limiterons à une analyse primaire. Le sommet de la pyramide, les multinationales capitalistes, les créateurs d'un gouvernement mondial désirant une emprise totale sur les ressources et sur le bétail que nous représentons. Mais pourquoi ce désir si intense d'une telle domination ? Ces êtres humains, cette élite ne sont pas comme nous. Adoptant le culte satanique à travers des rituels utilisant souvent des enfants (cf l'affaire wepstein et les nombreux réseaux pédophiles). Se nourrissant d'énergie basée sur la peur et la colère, nos révoltes ne leur posant qu'un problème logistique. Ces individus sont coupés de toute humanité, psychopathes et donc on peut même se demander si ils sont humains en fin de compte. Ainsi, c'est contre l'Ombre, le mal en puissance ou toute autre appellation dénuée de symbolisme, que nous luttons. Cette prise de conscience est nécessaire pour comprendre les véritables enjeux en cours. Il ne s'agit pas seulement d'obtenir plus d'argent sur son compte bancaire ni de développer le concept de démocratie avec un RIC. Participer à ce système corrompu et dominateur n'est pas suffisant car on continue à jouer leur jeu en réclamant des choses que l'on ne voudra pas nous donner (ou en saupoudrage qui donne l'illusion d'être considéré) : la liberté d'établir nos propres règles fondées sur de vraies valeurs. Ce pouvoir, nous devons nous l'accorder et non plus le réclamer. Une réorganisation complète est nécessaire et cela commence au niveau individuel ainsi que dans le collectif de proximité. Consommer différemment, de façon plus responsable et écologique, se réinformer et ouvrir nos consciences, nos horizons, mieux éduquer et instruire nos enfants plutôt que de les laisser sous mauvaise influence, s'autonomiser, débrancher sa télé, privilégier la nature comme cadre de vie…  Certaines habitudes sont plus faciles à changer que d'autres mais le changement commence par soi-même : la responsabilisation. Certes, cela semble désuet pour changer le monde mais l'ennemi est tellement imposant que des actes de revendication sont vains. Cependant ils sont efficaces pour aider les autres à ouvrir les yeux et à former une cohésion. Si cet effet de groupe fonctionne dans des proportions intéressantes, on crée une arme réelle. Des idées, du libre-échange, une désobéissance civile efficace, une utilisation intelligente du potentiel individuel. Une idée de désobéissance civile : refuser de payer la taxe audiovisuelle. Pourquoi ? Parce-que nous devons payer pour nous faire endoctriner ! Et comme ils ont dû anticiper le fait que les gens sont en train de se réinformer par d'autres médias, ils nous taxent quand même sous prétexte que nous avons une connexion internet. Payer pour un service que nous ne désirons pas et qui nous maintient dans l'emprisonnement d'une matrice qu'ils ont crée, c'est le comble de l'ironie et ce n'est plus tolérable. Nous sommes amenés depuis bien longtemps à être divisés et uniformisés; ce n'est pas un hasard. L'unicité tout en privilégiant les différences de chacun est une clé inconditionnelle pour retrouver notre dignité collective. Il ne suffit plus de dire ce que nous ne voulons plus mais désormais il faut créer ce que nous voulons. Les temps sont difficiles et notre résistance est éprouvée mais il ne faut pas perdre espoir et surtout continuer à mener des actions individuelles pour le collectif dans un esprit d'amour et de justice. Voilà comment on peut mettre à mal "les forces de l'ombre" à notre petite échelle. L'esprit gilet jaune doit se redéfinir si il veut être pris au sérieux et donc influencer le plus large spectre ce qui serait une victoire en soi !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire